VV et Camille : lutte serrée
Mercredi 1er juin, café de la danse, concert de Nouvelle Vague
Dans un premier temps, première partie faiblarde (dont j’ignore le nom) qui laisse suite à Nouvelle Vague, dont je viens de comprendre le jeu de mots (non, je n’avais pas encore fait gaffe que c’était la traduction de New Wave et oui, je dois être débile). Le suspence est levé immédiatement : Camille est de la partie et en fin de concert, on se dit que son absence aurait sûrement grandement affaibli le concert. Fantaisie, maîtrise incroyable de la voix, bonne humeur… Je pense que tout ceux qui étaient en concert sont tombés amoureux de Camille et risquent de le rester assez longtemps.
Vendredi 3 juin, La Cigale, concert de The Kills
Dans un premier temps, première partie faiblarde (dont j’ignore le nom) qui laisse suite à The Kills, pour lequel je ne pense rater aucun jeu de mots. Le suspense est levé immédiatement, Hotel est vraiment un sosie-mix entre Jean-Louis Aubert et Iggy Pop et VV est terrible à tous les sens de termes ! Sauvagerie (entre les chansons, elle tourne en rond tête baissé et à vive allure comme on imagine que Bagheera l’aurait fait si il avait préfére faire du rock que du dessin animé), rock’n’roll attitude, physique top-modélesque… Je pense que tous ceux qui étaient au concert sont tombés amoureux de VV et risquent de le rester assez longtemps.
Sinon, ouais, les concerts étaient bien aussi.